Lorsque les hommes ont plus d’appétit sexuel, ce n’est pas souvent affilié à un problème, mais une nature. Par contre chez les femmes, on y attribue un caractère d’addiction ou de la nymphomanie. Bien qu’on doive plus comprendre les femmes dans cette situation au lieu de les juger, ce n’est pas toutefois une situation à négliger.
Comprendre l’origine
Le terme « nympho » ou femme et « manie » ou addiction est un trouble psychologique qui atteigne souvent les femmes. Elle se manifeste par une hypersexualité des femmes soient par une envie incessante de se jouir ou des besoins multipliés de sexe.
Les études médicales l’associent à des excès hormonaux notamment l’œstrogène, responsable de la libido chez les femmes. Une hyperstimulation à l’issue d’une administration de moyen contraceptif inadéquate, un traitement par L-Dopa contre la maladie de parkinson ou de corticoïde. Certains diagnostics les relient à une enfance maltraitée. Une autre hypothèse soulevée est la prédisposition génétique ou dysfonctionnement du cerveau.
Agir face à la nymphomanie
Comme c’est une maladie d’ordre psychologique, consulter un psy ou une thérapeute est plus approprié. Le plus souvent, la meilleure serait d’adopter une thérapie de couple. Dès son début, quelques astuces démontrent toutefois leurs efficacités. Premièrement, interrompre la contraception et recourir à des méthodes naturelles est recommandée. Puis consulter des alternatives, qui limitent la production de l’hormone féminine en cas de traitement, est également utile. Il est aussi très important qu’en parallèle à tous ces traitements, le partenaire soutient sa moitié et essaie de la comprendre. Bien que cela paraît un peu complexe ou difficile, une femme nymphomane doit bien choisir sa moitié.
Vivre sa nymphomanie
Étant une nature chez les femmes, ce comportement est parfois persistant et les traitements semblent inefficaces lorsque la concernée n’est pas convaincue de son état. Elle doit alors avoir un partenaire compréhensif et créatif sexuellement. Il faut aborder cette situation de manière à ce que le couple se comprenne et essaie de s’entendre. L’homme ne doit pas être fatigué au fur du temps et remplir ses obligations sexuelles toute en limitant progressivement les addictions de sa femme. Entre temps, ne jamais initier des moyens complexes pour exciter la femme comme les films pornographiques, le sexe à trois ou des partenaires multiples, car la prochaine demande risquerait d’être encore plus élevée. Pour une situation plus grave, se faire accompagner par des groupes de sexe addict ou d’un psy est à recourir.
